Michel-Ange, à la fin de sa vie explique : « Dans chaque bloc de marbre, je vois une statue aussi réelle que si elle se dressait devant moi, sculptée et juste dans l’attitude et le geste. Je n’ai plus qu’à travailler les parois grossières qui emprisonnent cette magnifique apparition pour la révéler aux yeux des autres, comme les miens la voient ».